Bien qu'un nombre croissant de recherches universitaires suggèrent que les médias sociaux peuvent avoir des effets négatifs sur la santé mentale, ils présentent également des avantages positifs, notamment une amélioration des connexions, du soutien, la recherche de communautés d'intérêt, etc.

Mais qu’est-ce qui a le plus d’impact : les aspects négatifs associés à la comparaison et à l’exposition sociales, ou les aspects positifs de la connectivité ?

Selon ce rapport commandé par LG Electronics, la balance est en réalité assez partagée.

Selon les données (basées sur les réponses de 2 000 Américains de la génération Z) :

  • 75 % des répondants ont associé l’utilisation des médias sociaux à des impacts négatifs sur leur santé mentale
  • 54 % estiment avoir peu de contrôle sur le contenu affiché dans leurs flux sociaux
  • 80 % des répondants ont associé les médias sociaux à un impact positif sur leur humeur.

Il y a donc du bon et du mauvais, même s'il est intéressant de noter également que de nombreuses personnes n'ont pas l'impression de comprendre les contrôles à leur disposition pour gérer leurs flux.

Dans l’ensemble, il semble donc que de nombreuses personnes apprécient la dopamine à court terme des médias sociaux, mais les impacts à long terme peuvent encore être excessivement négatifs.

C’est pourquoi les régulateurs ont eu tant de difficultés à établir des règles ou des paramètres d’utilisation, car il n’existe pas de réponses définitives sur les véritables impacts.

Vous pouvez consulter les résultats complets de l’étude dans le graphique ci-dessous.

Utilisation des réseaux sociaux par la génération Z